Ecole

Mardi 07 Septembre 1886   Changement d’instituteur: M. FAUVET remplace M. FAYE   M. FAYE: au dénombrement du 30 Mai 1886: Rue Haute Louis Jules FAYE, 35 ans x Jeanne Marie LETOFFE, 34 ans   M. FAUVET n’est pas resté lontemps à VD: au dénombrement du 10 Mai 1891 l’instituteur est BACQUENOIS, rue de la Place    

Dimanche 04 Juillet 1926: Léon Prosper THUILLIER, délégué cantonal, est nommé Officier d’Académie : Léon Prosper THUILLIER ° Cormontreuil02 09 1860, fils de Pierre ProsperTHUILLIER °20 06 1833 - 1898/ , jardinier rue de l’église, c’est-à-dire au «manoir» x VD 28 10 1884 Marie Marthe NEVEUX °27 03 1865, fille de Léopold N., instituteur → Roger THUILLIER ° 29 Décembre 1898 clerc de notaire maire 1912-1919 et 1935-1940 Délégué cantonal: La loi du 30 octobre 1886 (articles 9 et 52) a mis au nombre des attributions... [Lire la suite]

Dimanche 04 Mai 1890 Adjudication des travaux pour l’école. Il s’agit de la construction de la première salle de classe de l’école telle qu’elle fut au cours du XXe siècle, au fond de la cour de la Mairie. Camille LABASSÉ étant mort célibataire, sans enfant, la commune racheta la propriété de sa succession. Le tableau suivant montre qu’il était petit fils de ce « LABASSÉ- LABASSÉ » que nous avons vu parmi les « éligibles » dans les années 1840. L’un des bâtiments de cette propriété n’abritait pas moins de 2... [Lire la suite]

Vendredi 23 Août 1907 : Subventions pour école, Subventions pour la construction  de la 2e classe d’école et pour l’achat de mobilier scolaire :    

Dimanche 19 Septembre 1909 Soumission des travaux de construction de la 2e salle de classe. Parmi les adjudicataires, seul J.BIGOT est de Villedo. On notera qu’il prend non seulement la serrurerie et la menuiserie mais aussi la peinture. Est-ce au nom d’Emile, peintre, ou bien a-t-il repris aussi son activité de peinture ? En effet, Emile ne paraît plus au dénombrement de la population en1911, et j’ignore ce qu’il est devenu. La famille BIGOT est arrivée à Villedo vers 1855, en la personne de Jules Hyacinthe, que l’on... [Lire la suite]